mercredi 30 janvier 2008

30 janvier 1965: les funérailles de Churchill

474px-Winston_Leonard_Spencer_Churchill.jpgCe jour là, les Britanniques honorent lors de funérailles nationales l'homme qui fut au coeur de l'histoire du Royaume-Uni et du monde durant toute la première moitié du XXe siècle. De sa présence en Inde lors de la conquête de la Birmanie  à la fin du XIXe siècle jusqu'à son discours de Fulton en mars 1946 où il évoque un "rideau de fer" tombé sur l'Europe, sir Winston Leonard Spencer Churchill  est associé à la plupart des événements historiques de cette période.
Il en est ainsi de sa participation à la guerre des Boers en Afrique du Sud,  et de sa rocambolesque évasion; de son rôle dans la  1ère Guerre Mondiale en tant que 1er Lord de l'Amirauté, de sa "traversée du désert" aussi, suite au débarquement raté des Dardanelles en  1915.
Dans l'entre-deux-guerres, il traita avec Michael Collins pour tenter de résoudre le conflit irlandais, après avoir fait appel aux terribles  bataillons des Black and Tans (voir les magnifiques films Michael Collins et Le vent se lève) ainsi qu'avec Gandhi pour évoquer la situation en Inde et utilisa les services du célèbre Lawrence d'Arabie pour la politique anglaise au Moyen Orient.
Enfin, il demeura surtout l'homme qui s'opposa à Hitler, déclarant à propos des accords de Munich"On vous a donné le choix entre le déshonneur et la guerre ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre "
  et promettant aux Britanniques, alors qu'il vient d'être nommé 1er ministre "du sang, de la sueur et des larmes" (d'après le poème de John Donne)churchill.JPG
Au delà de son mythe, Winston Churchill fut donc un personnage "complet" (il reçut le prix Nobel de littérature en 1953) complexe et controversé, qui incarna également la souplesse en politique: élu député conservateur, il fut par la suite libéral puis de nouveau conservateur: ce que les sénégalais appellent la "transhumance politique".
A lire pour plus de détails, la biographie de Winston Churchill écrite par François Bedarida

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mardi 29 janvier 2008

Les meilleurs lycéens admis de droit dans les prépas?

C'est ce qui ressort de cet article du  Monde daté du 30 janvier 2008:

"L
e ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos, va adresser début février une circulaire à tous les proviseurs de lycée afin qu'ils présentent 5 % de leurs meilleurs élèves en classes préparatoires. Toute demande formulée par ces élèves sera automatiquement acceptée. [...]

Ce plan, élaboré avec la ministre de l'enseignement supérieur, Valérie Pécresse, doit permettre au plus grand nombre d'élèves d'accéder à aux classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Surtout implantés dans les lycées des grandes villes - un quart des départements comptent seulement une ou deux classes prépa, un élève sur cinq étudie à Paris -, ces temples de l'élitisme accueillent majoritairement des lycéens de familles aisées. A la rentrée 2006, 54 % des 76 200 étudiants de prépa étaient issus de catégories sociales favorisées, contre 29 % dans un cursus de licence.

Selon un récent rapport du Sénat sur la diversité sociale dans les classes préparatoires, à résultats scolaires égaux, tous les élèves n'ont pas les mêmes chances d'entrer dans ces filières. "30 % des bacheliers avec mention issus de milieux enseignants ou supérieurs choisissent cette voie, ce n'est le cas que de 12 % des élèves issus de milieux populaires", écrivait le rapporteur Yannick Bodin (PS)."

Une disposition intéressante, mais qui comporte deux lacunes: elle repose sur la bonne volonté des proviseurs qui "hébergent" des classes prépas, et surtout elle ne comporte aucune mesure d'accompagnement matériel des élèves (bourses, financement du logement...) qui représente pourtant un obstacle majeur pour beaucoup de familles !

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lundi 28 janvier 2008

Construisez votre "ville durable"

ecoville_r1_c1-copie-1.jpgPour les secondes qui étudient ce thème en ce moment, voici un petit jeu genre "simcity" pour vous initier aux problèmes de la ville et du développement durable, que nous aborderons  cette semaine. Et n'oubliez pas de réviser  à l'aide des questionnaires et des mots croisés !

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samedi 26 janvier 2008

Passer une nuit en RDA

Puisqu'il a été question de l'Ostalgie cette semaine en cours, voici un extrait d'un article du Monde relatant l'ouverture d'un hôtel à Berlin dont le nom est éloquent: "Hôtel Design DDR". Comptez une cinquantaine d'euros la nuit, pour une chambre avec salle de bain commune...



oscou, La Havane, Pékin... les fuseaux horaires affichés à la réception de l'Ostel DDR Design Hostel (qu'on peut traduire par Hôtel Design RDA) donnent à croire que le mur de Berlin, à quelques mètres de là, n'est pas encore tombé. Les clients sont accueillis par le regard presque bienveillant de Horst Zimmermann : le portrait de feu le président du Parlement est-allemand est accroché au mur dans l'entrée.
 
Le papier peint, tout en figures géométriques et couleurs d'un autre âge, les lampes, les fauteuils, les armoires, les lits... tout dans cet hôtel bon marché installé dans un grand ensemble en béton d'époque est un modèle authentique de l'ex-Allemagne communiste. Sa proximité de plusieurs hauts lieux de la vie berlinoise contemporaine, comme la boîte de nuit Berghain, l'une des plus courues d'Europe, lui assure une clientèle plutôt jeune et curieuse, dans une capitale où toute l'histoire du XXe siècle se palpe presque à chaque coin de rue.

Les adeptes de la nostalgie de l'Est, l'« Ostalgie » comme l'appellent les Allemands, raffolent du lieu. Depuis son ouverture le 1er mai - pour la Fête internationale des travailleurs, souligne un des deux gérants, Daniel Helbig -, l'Ostel DDR Design Hostel affiche complet tous les week-ends. Pour Daniel Helbig, un enfant de Berlin-Est aujourd'hui âgé de 35 ans, « c'est comme un petit musée à toucher, à un moment où malheureusement sont détruits les uns après les autres les vestiges de l'histoire » de la République démocratique allemande (RDA), comme le Palais de la République, qui abritait le Parlement, et dont la carcasse gît encore.
« C'est stupide, affirme M. Helbig. On voit les choses de façon trop extrême en effaçant cette histoire. Il y avait la Stasi, la redoutable police secrète, bien sûr, mais des gens ont aussi passé du bon temps sous le communisme. » Ses clients profitent souvent de leur passage à Berlin pour visiter le mémorial de la Stasi au quartier de Hohenschönhausen ou bien pour faire un safari en Trabant, l'automobile est-allemande devenue un objet- culte.
Pour cet ancien funambule du cirque d'Etat, la RDA n'était pas forcément ce mauvais élève que la récente historiographie voudrait faire croire. Notamment en termes de design. Jusque dans les années 1970 et même 1980, les meubles est-allemands, souvent en bois massif saxon, étaient de bonne qualité et n'avaient rien à envier à leurs homologues de l'Ouest, dit M. Helbig.
« A l'époque, la RDA a même produit pour Ikea. Et exportait à Berlin-Ouest ! », se vante le gérant, homme à tout faire de l'hôtel situé à deux pas de la gare Ostbahnhof et de la plus longue relique du mur de Berlin, baptisée East Side Gallery. M. Helbig fait régulièrement les brocantes dans l'est du pays pour dénicher une commode, une étagère. Et il n'est pas peu fier d'avoir dans une chambre une lampe originale du foyer du Palais de la République.
L'hôtel offre toute une palette de chambres, des plus modestes en dortoir - pour rappeler les jeunesses communistes - aux appartements avec vue sur la Tour de la télévision, symbole s'il en est de Berlin-Est, jusqu'à la suite Wandlitz, du nom de la villégiature au nord de Berlin où les bonzes du régime avaient leur datcha. Elle portait le nom de suite Stasi jusqu'à peu, ce qui n'amusait pas les victimes et critiques du régime est-allemand - peu convaincus par l'Ostel de toute façon.
Par exemple, les portraits du dernier chef d'Etat est-allemand avant la réunification, Erich Honecker, qui trônent dans une dizaine de chambres font grincer des dents. « C'est comme si on accrochait dans une pension des portraits d'Hitler ou de Goebbels », peste Rainer Wagner, président de l'Union des associations de victimes de la répression communiste.

L'Ostel, en donnant une image d'un quotidien « petit-bourgeois », « banalise le système » dictatorial est-allemand, affirme ce pasteur de 56 ans, qui a réussi à s'échapper de la RDA en 1983 après avoir été prisonnier politique pendant près de deux ans. Et de rappeler : « Il ne faudrait pas oublier que la RDA comptait en permanence 20 000 détenus d'opinion. » - (Intérim.)

Pour compléter: allez consulter l'Atlas de la collection Autrement intitulé "A l'est du Mur. 1989-1999 : les Allemands de l'ex-RDA, leurs rêves, leurs désillusions ", disponible au CDI !!

Et bien sûr, pour vous imprégner de "l'époque RDA", regardez l'excellent film GoodBye Lenin ! 

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jeudi 24 janvier 2008

Ressources pour les secondes !

villes.JPGLes exercices pour le chapitre sur espaces urbains et dynamiques urbaines sont en ligne! 
Mots croisés / Questionnaire


Pour ceux qui seraient intéressés, les fichiers kmz pour revoir l'animation du cours sur les paysages urbains sont téléchargeables ici (il suffit de cliquer sur un fichier kmz.jpget google earth s'ouvre automatiquement...si vous l'avez déjà bien sûr:)
 


Quant au "site" pour réaliser le module sur les espaces urbains de la région parisienne, il est téléchargeable
en cliquant ici

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mardi 22 janvier 2008

22 janvier 1963: le traité d'amitié franco-allemand

Ce jour là est signé à l'Elysée entre  le président de la République Charles De Gaulle et le chancelier de la RFA Konrad Adenauer un traité qui marque la réconciliation entre les deux pays qui se sont affrontés trois fois en moins d'un siècle.

Ce traité, qui affirme la nécessité de bâtir et préserver les bonnes relations franco-allemandes, doit beaucoup à la relation particulière qui unit De Gaulle et Adenauer. Du reste par la suite, le "couple franco-allemand" demeura un pilier de la construction européenne, selon les relations plus ou moins fortes entre les dirigeants politiques de chacun des deux pays. 
mitterrand-kohl-verdun.jpgOn peut ainsi songer à Valéry Giscard d'Estaing et Helmut Schmidt, ou François Mitterrand et Helmut Kohl.
Pour finir, ce traité prévoit aussi la création d'un office franco-allemand de la jeunesse et de lycées franco-allemands, et favorise les jumelages. Un traité essentiel donc, à la croisée de différents chapitres de votre programme de terminale:  Mémoires de la guerre, Evolution politique de la France depuis 1945, Construction européenne...

Petite mise à jour de 2015 sur le couple franco-allemand et son rôle à l'échelle de l'Union Européenne, sur le site du ministère des affaires étrangères: cliquer ici et un récapitulatif de Ouest France sur 50 ans de couple franco-allemand: VGE et Schmidt, Sarkozy et Merkel etc. cliquez ici

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dimanche 20 janvier 2008

L'affaire Ben Barka à la télévision

benbarka2.jpgLundi et mardi soir est diffusé sur France 2 un film sur "l'Affaire Ben Barka". Pour "éclairer" ce programme, voici un extrait d'article du Monde et une précision: l'instruction de ce dossier est toujours en cours, et la version présentée par les scénaristes n'est qu'une hypothèse aujourd'hui encore très discutée...

LE 29 OCTOBRE 1965, l'opposant marocain Mehdi Ben Barka est enlevé à Paris, devant la brasserie Lipp. Deux policiers français, Louis Souchon et Roger Voitot, manipulés par Antoine Lopez, agent du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage, le font monter dans leur voiture pour le conduire dans la villa de Georges Boucheseiche, truand notoire, proche des milieux marocains, où il doit, lui affirme-t-on, rencontrer le roi du Maroc, Hassan II. On perd alors la trace de Medhi Ben Barka. Son corps ne sera jamais retrouvé.

Qui avait intérêt à sa disparition ? Le roi Hassan II, qui voulait voir disparaître le chef de file de l'opposition marocaine ? Le général Oufkir, ministre de l'intérieur ? La CIA, qui voyait d'un mauvais oeil son amitié avec le dirigeant cubain Fidel Castro ?

Partant de ces interrogations, L'Affaire Ben Barka, réalisée par Jean-Pierre Sinapi sur un scénario de Jacques Labib et Philippe Madral recoupant témoignages, déclarations d'époque et éléments nouveaux, est une fiction qui se veut réaliste.

Ce film, en deux épisodes de 90 minutes, se présente comme un polar noir mélangeant espionnage, suspense, géopolitique et personnages troubles.

[Le second épisode] est l'histoire vraie du séisme qui secoua la France gaullienne à la veille de la première élection présidentielle au suffrage direct. Thami Azzemouri, historien et ami de Ben Barka, seul témoin de l'interpellation par des policiers français, prévient le journal Le Monde qui publie aussitôt la nouvelle. Commence alors " l'affaire " Ben Barka qui révèle la collusion des services secrets français et marocains, sur fond de barbouzes, d'avocats sulfureux, de guerre des polices.

Maurice Papon, préfet de police, fera tout pour retarder l'enquête alors que tout accuse le général Oufkir. Dans une série de flash-back purement imaginaires, on le voit tuer Ben Barka et faire disparaître son corps dans un bain d'acide, scène peu crédible et contestée qui altère le côté documentaire de l'ensemble.

Malgré deux procès en 1966 et 1967, difficile de savoir ce qu'est devenu Ben Barka surtout que de nombreux protagonistes, dont Figon, Boucheseiche, Oufkir et Dlimi ont disparu, soit " suicidés " soit " accidentés ".

Armelle Cressard

 

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lundi 14 janvier 2008

Lord Kitchener vous regarde...

Puisqu'il a été question en cours aujourd'hui de la guerre totale et du "service militaire de la pensée", voici pour les 1ère un exemple d'affiche de propagande restée célèbre, et de son analyse par un célèbre historien de l'université de Los Angelès: Carlo Ginzburg (conférence publiée dans Le Monde du 13 janvier 2001)

affiche-kitchener.gifN général médiocre, mais une affiche splendide » : ce jugement, prononcé - paraît-il - par Lady Asquith, a été associé depuis longtemps à la mémoire de Lord Kitchener (1850-1916).

Dans la nuit du 5 août 1914, Lord Kitchener fut nommé ministre de la guerre. (...) Le 5 août, le Times sortit un appel aux armes : « Votre roi et votre patrie ont besoin de vous [Your King and Country Need You]. Allez-vous répondre à l'appel de votre patrie ? (...) »

La machine de la propagande de guerre avait démarré ; le message était là, mais le nom et le visage de Lord Kitchener manquaient. L'appel aux armes fut réimprimé le jour suivant ; le 7 août, on put lire une requête de Lord Kitchener demandant « un complément de cent mille hommes à l'armée régulière de Sa Majesté » : « Lord Kitchener est sûr que cet appel sera accueilli sans délai par tous ceux à qui la sécurité de l'Empire tient à coeur. »

Le retentissement de cet appel personnel, sans cesse renouvelé, fut énorme. A partir de septembre 1914 il fut puissamment renforcé par l'affiche présentant le visage de Kitchener. Le nombre des volontaires monta jusqu'à trente-cinq mille par jour. Dans les premiers dix-huit mois de la guerre, avant l'introduction, en Angleterre, du service militaire obligatoire, « les armées de Kitchener », ou « les divisions de Kitchener » (...) atteignirent le pic de deux millions et demi - chiffre considérable - que les articles écrits après la mort de Kitchener gonflèrent jusqu'à cinq millions.

(...) En 1915 et 1916, des versions plus ou moins remaniées de l'affiche de onclesam.jpgKitchener circulèrent en Italie, en Allemagne, en Hongrie (je ne connais pas de véritables versions françaises ; peut-être y en avait-il). Quelque temps après, Lord Kitchener parut de nouveau, sous d'autres déguisements : en Oncle Sam ou en Trotski (ci-dessous).

Cette longue série d'imitations et de variations (autant que d'inversions et des parodies) montre l'efficacité de l'image de Lord Kitchener : peut-être la formule la plus populaire dans l'histoire de l'affiche.

(...) Au début de 1984 [Le livre de George Orwell], le lecteur rencontre la description d'une « affiche colorée, trop grande pour être exhibée dans un espace fermé, (...) collée au mur. Elle représentait le visage énorme, de plus d'un mètre de largeur, d'un homme âgé de trente-cinq ans à peu près, avec des épaisses moustaches noires et des traits d'une rude beauté. (...) C'était l'une de ces images dont les yeux vous suivent de n'importe quel côté que vous bougiez. La légende disait : «BIG BROTHER IS WATCHING YOU» (« Big Brother vous regarde »)

Eric Blair, qui prit le nom de plume de George Orwell, naquit en 1903 aux Indes. Il se rendit en Angleterre avec sa famille en 1907. Derrière le passage que je viens de citer, on décèle aisément un souvenir d'enfance : les affiches de Lord Kitchener qui couvraient Londres à l'automne 1914.

(...) En 1949, lors de sa première publication, 1984 fut lu un peu partout comme un livre de la guerre froide ; ses allusions à la terreur stalinienne paraissaient évidentes. Cinquante ans après, le livre d'Orwell paraît de plus en plus prophétique. Sa description d'une dictature fondée sur les médias électroniques et le contrôle psychologique peut être aisément adaptée à une réalité plus proche de nous, qui n'est pas entièrement invraisemblable.

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dimanche 13 janvier 2008

13 janvier 1898: le "J'accuse" de Zola

J-accuse-copie-1.jpgLes intellectuels sont nés paraît-il le 13 janvier 1898. Ce jour là en effet, l'écrivain Emile Zola publie dans le journal de Georges Clémenceau "L'Aurore" un article demeuré célèbre dans lequel il dénonce point par point les incohérences et les malversations du dossier ayant servi à condamner Alfred Dreyfus pour espionnage.
Cet article eu un retentissement considérable, puisque les débats passionnés qui divisèrent la France entre dreyfusards et anti-dreyfusards datent de cette parution.
Cet article valu à Emile Zola plusieurs condamnations, et l'obligea à s'exiler pendant près d'une année en Angleterre, tandis qu'il relança la carrière politique de Clémenceau, qui avait été condamné quelques années plus tôt pour corruption lors du scandale de Panama. 

zola-copie-1.jpgParmi les innombrables ouvrages ou films qui traitent cet épisode, deux me plaisent particulièrement: l'excellent livre de Jean-Denis Bredin consacré à l'Affaire Dreyfus, très documenté et agréable à lire et le film d'Yves Boisset "L'Affaire Dreyfus" 
Ainsi que ce petit reportage consacré à l'article de Zola trouvé sur le site de l'INA
Et si vous avez le courage: le texte intégral de l'article!

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mardi 8 janvier 2008

Le "film Gore" de Leonardo di Caprio

126366-affiche-la-11e-heure-le-dernier-virage.jpgAjourd'hui est présenté à l'Assemblée Nationale le film-documentaire de Léonardo Di Caprio: "la 11e heure". Un film choc visant à sensibiliser l'opinion publique sur les risques liés au réchauffement climatique, dans la lignée d'Al Gore et de sa "vérité qui dérange".
Je vous conseille très vivement d'aller lire l'excellent article du Monde 2 qui évoque l'engagement de l'acteur américain dans ce combat et le mode de diffusion "écolo" de ce film, mais aussi la mode actuel des "green stars", ces artistes célèbres qui se disent de plus en plus écologistes, et qui sont pourchassés par des "écorazzis" qui pointent leurs contradictions entre leur engagement et leur mode de vie (4x4, jets privés, yachts à moteurs surpuissants...). A lire !

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vendredi 4 janvier 2008

A consulter pour vos révisions de bac blanc

bricabraque.JPGJe vous recommande une nouvelle fois (si vous avez le temps) cet excellent site qui vous apportera des informations complémentaires sur un certain nombre de chapitres traités en classe (ici en l'occurrence pour le chapitre bilan et mémoire de la guerre). N'hésitez pas à fouiller dans ce blog nommé bricabraque!

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Réviser le chapitre d'hggsp de terminale sur Faire la guerre faire la paix

 Voici deux petites vidéos de révision sur le chapitre d'hggsp de terminale: "Faire la guerre, faire la paix"

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